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Cézar - Cycle Gardiens de l'éternité Tome 4 - Alexandra Ivy

 

L'auteur :
Alexandra Ivy est le nom de plume de Deborah Raleigh, une écrivaine américaine de fantasy. Elle est l'auteur de 33 livres pour Kensington Publishing. Elle a publié sous ce nom sa série de Bit-Lit Guardians of Eternity. Elle écrit également des romans historiques sous le nom de Deborah Raleigh.

La quatrième de couverture :

Les désirs obscurs déchaînent les plus folles passions…


Deux cents ans se sont écoulés depuis qu’Anna Randal s’est offerte à don Cezar lors d’une nuit de passion. Anna a alors été investie d’un pouvoir dont elle ne peut saisir la nature. Sa délicieuse rencontre avec la jeune femme a coûté cher à Cezar : deux siècles de pénitence.


Alors que les oracles lui ont ordonné de veiller sur Anna, Cezar est déchiré entre son devoir et son besoin de la posséder. Anna doit quant à elle choisir entre succomber à un désir ténébreux… ou accepter une destinée qui pourrait changer le monde pour l’éternité.


Les personnages principaux :

  • Cézar, personnage éponyme, vampire multi-centenaire.

  • Anna

Commentaires :

Je ne vais pas répéter une fois de plus mon résumé (T/G/C), je pense l'avoir assez exposé dans mes commentaires des 3 premiers tomes de cette série. On retrouve un duo avec Cézar le vampire torturé par ses sentiments pour Anna, qui ne sait pas trop ce qu'elle est. elle vit depuis plus de 200 ans et a cessé de vieillir depuis qu'elle est passée par la case chambre à coucher avec Cézar, appelons un chat un chat, ça ne sert à rien de tourner en rond. On lit une série pleine de guimauve dont le but est de mettre ensemble des couples après leur avoir fait subir toutes les épreuves possibles et les avoir bien malmenés avec leurs propres sentiments. Ici Cézar est accro à Anna, sauf qu'il ne fallait pas y toucher. En même temps le pauvre, il n'y avait pas de panneau d'avertissement alors fidèle à lui même, il la voulait, il l'a eu. Le problème c'est que suite à cela il se fait taper sur les doigts par les Oracles... Et c'est là que tout s'enchaîne.

De l'action, il y en a. De l'eau de rose, il y en a. De la morsure, il y en a. De l'amitié, il y en a. De la traque, il y en a. Bon ben voilà, on a fait le tour. La plus me de l'auteur est toujours la même, c'est agréable à lire, même si ce n'est pas avec ce récit que l'on obtiendra sa place à l'Académie Française (je sais, elle ne peut pas y être de par sa nationalité, mais c'est une façon de parler, vous voyez l'idée).

 

Les + :

Simplicité

 

Les - :

Guimauve fort collante

 

La note d'Indocile :

12/20

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